Consolidation en juin dans un semestre « exceptionnel » pour les actions!
Le contexte général n’a pas fondamentalement changé au cours des dernières semaines.
Sur le plan économique, les signes d’une reprise de la conjoncture demeurent présents et ils confortent notre scénario…
Il faut savoir raison garder dans un contexte d’incertitudes persistantes !
Après un repli inégalé depuis plusieurs décennies le mois précédent, avril aura permis maux bourses, le S&P 500 en particulier, de connaître la hausse la plus marquée depuis 1991.
Ces mouvements erratiques sont révélateurs d’un contexte incertain et propice aux interrogations pour les investisseurs internationaux, qui doivent gérer une crise historique à biens des égards. Lorsque la panique gagne les marchés, comme cela fût le cas en février et mars, il est souvent commun…
Des marchés sous l’influence d’une dislocation complète !
Que dire qui n’a pas déjà été écrit sur ce mois de mars 2020 qui fera sans doute date dans l’histoire économique et financière.
La chute généralisée du cours des actifs dit tout : la panique a gagné les investisseurs, alarmés par l’expansion du covid-19 et les incertitudes économiques induites. La capacité des mécanismes de prix à jouer…
La peur fait un retour vengeur sur les marchés et prend la forme d’une panique !
Février aura été totalement sous l’influence du covid-19! Dans un premier temps, les opérateurs ont été rassurés par les signes croissants que l’épidémie était sous contrôle dans l’Empire du Milieu, ce qui a conduit à de nouveaux records pour les actifs risqués. Dans une seconde phase, la confirmation d’une diffusion du virus à d’autres régions, l’Europe en particulier, a exacerbé les peurs, favorisant…
Espérer le meilleur et se préparer au pire!
On dit du rallye sur les ations en 2019 qu’il est l’un des plus mal aimés de l’histoire. Cette caractérisation n’est pas saugrenue si l’on songe à la difficulté des investisseurs à y participer. A cet égard, il suffit de se remémorer le pessimisme ambiant qui régnait en fin d’année dernière sur le devenir des bourses, pour corroborer le constat susmentionné. Peu d’investisseurs pensaient alors…
Entre la quête du quetzal et les mariachi !
Nous avons tous nos troubles obsessionnels compulsifs, En ce qui me concerne, je suis toujours enclin à une forme de crainte lorsque je m’éloigne (trop longtemps) du bureau ; la célèbre petite phrase « les marchés vont corriger en mon absence » résonne (illogiquement) dans ma tête. Dans ce contexte, un périple professionnel au Guatemala et à Mexico City n’a pas échappé à la règle, d’autant plus que la performance …
Les banquiers centraux ont fait leur travail. Et maintenant ?
Coordonnée ou non, l’action des banques centrales s’est faite plus résolue en septembre. La faute à un cycle économique incertain, à une inflation trop faible malgré les bas taux de chômage et en raison de tensions commerciales vivaces.
Canicule et orages estivaux ont également gagné les marchés financiers
Le retour de la volatilité et la consolidation des marchés boursiers au cours de la période estivale nous auront donné raison.
D’abord parce que nous avons affronté les vents contraires d’août avec une sous-pondération en actions, ensuite parce que notre politique de renforcement de l’or sur faiblesse des derniers mois a porté ses fruits et enfin parce que…
