Notre structure de gouvernance a changé la trajectoire de Prime Partners
Article de notre CEO, Sébastien Capt, qui commence à la page 44.
Article de notre CEO, Sébastien Capt, qui commence à la page 44.
En hausse de près de 30% cette année, le Nasdaq est porté par un petit nombre de sociétés bénéficiant des espoirs suscités par l’intelligence artificielle.
Mardi soir, l’annonce de la sortie immédiate de piste du patron de Logitech a pris toute la planète financière par surprise. Le titre s’est effondré à la Bourse suisse.
Credit Suisse appartient officiellement à UBS depuis ce lundi. Le nouveau géant bancaire devra rapidement décider quoi faire de l’entité suisse de l’ex-seconde banque du pays et redresser sa gestion de fortune. Tout en cadrant ses employés
La liste des inquiétudes s’allonge et les signaux négatifs sont bien réels, nul ne dira le contraire. Pourtant les marchés actions sont à la hausse depuis le début de l’année.
Les grandes entreprises, dont Nestlé, ont continué de massivement augmenter leurs prix en début d’année, renforçant ainsi les critiques selon lesquelles elles tirent profit du renchérissement
Sans surprise, les résultats de Credit Suisse au premier trimestre sont mauvais. Très mauvais même. L’établissement a perdu 1,3 milliards, alors que les analystes tablaient sur une perte de l’ordre du milliard de francs. «On voit qu’il n’y a que la banque suisse qui est profitable, mais même ce résultat est décevant», souligne Jérôme Schupp, analyste financier chez Prime Partners.
Ce n’est pas tant la récession qu’il faut craindre mais plutôt les conséquences du changement de régime tant en termes de taux d’intérêt que d’ordre mondial.